Les phares du Guilvinec/Léchiagat

 Le Guilvinec est le 1er port français de pêche artisanale

Venant du Sud ou SW, reconnaître les bouées lumineuses de la "Basse Spinec" 

et de la "Basse Nevez".

 Feu vert du môle de Léchiagat
Hauteur 3 mètres

portée 7 milles

Le Phare du Môle (TOUR-TAN AN DIK)

L'idée d'un phare sur le musoir (extrême pointe) du môle est émise lors du conseil municipal du 25 novembre 1906. Le Ministre des travaux publics donne son feu vert par décision du 16 avril 1907 pour une dépense évaluée à 9000 Francs : le préfet du Finistère répartissant les charges au Conseil Général et aux communes du Guilvinec et de Tréffiagat. Sa construction, freinée par des questions de financement entre ces trois partenaires, sera terminée en 1922. Mais ce n'est que le 17 mars 1923, qu'enfin opérationnel, il destine ses premiers clins d’œil aux marins croisant au large ou désirant accoster au Guilvinec.

 Hauteur 10 mètres

portée 9 milles

Feu antérieur d'alignement

hauteur 6 mètres - portée 8 milles

 Feu intermédiaire d'alignement (Balise du rocher de Faouetès)

hauteur 12 mètres 

portée 11 milles pour le secteur vert et 14 milles pour le secteur à éclats blancs

Chenal : Alignement phare du Guilvinec et balise le Faoutès à 053°

Feu postérieur de port Le Guilvinec/Léchiagat

 Tour carrée, en maçonnerie, avec un large pignon et deux fausses cheminées,
peinte en blanc avec une large bande verticale rouge au centre.

Hauteur 25 mètres
Portée 8 milles
plan focal de 26 mètres
signal rapide blanc, visible seulement près de la ligne de portée
Construction 1871.
En service

En 1903, le phare est surélevé de 2,5 mètres avec la mise en place d'une lanterne.
À cette période, la lumière était visible à 500 mètres au Nord-Est.