SIMCA
Aronde OCEANE
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L’Océane et la Plein Ciel sont d’abord équipées du 1300 cm3 Flash Spécial de l’Aronde Montlhéry à la puissance de 57 ch.Il s’agit encore du groupe à trois paliers. Le nouveau quatre cylindres à cinq paliers de la P60 arrive à la fin 1960 sous la forme du Rush Super (62 ch à 5200 tr/mn).Il s’effacera bientôt au profit du Super M (70 ch à 5900 tr/mn), qui motorisera les voitures jusqu’au terme de leur carrière. Ainsi gréées, elles parcourent le kilomètre départ arrêté en 42 secondes et dépassent les 140 km/h.Des performances proches de celles du cabriolet 403 de 1,5 litre, mais qui ne suffisent pas à en faire des modèles sportifs.En octobre 1958, les Océane et Plein Ciel subissent un léger lifting sous la forme d’une calandre élargie et de pare-chocs relevés à l'image de la Thunderbird 1957.On note également quelques retouches affectant les feux arrière et le pavillon du coupé, relevé et à la lunette agrandie.Un an plus tard, afin de réduire un prix de vente très excessif, Simca présente les versions « S » à la finition simplifiée.Elles sont notamment identifiables à leurs pièces de carrosserie empruntées à la P60 (pare-chocs droits, clignotants, feux arrière, etc.).La sellerie abandonne également le cuir pour le simili.Mais le niveau de finition précédent se maintient sous l’appellation de Grand Carrossier.Il disparaîtra l’année suivante.
Cette évolution destinée à stimuler les ventes, demeurées à un faible niveau, sent la fin de règne.Ce sera peine perdue face à la rude concurrence de la Floride.L’Océane et la Plein Ciel tireront leur révérence en juillet 1962 pour céder la place au coupé dérivé de la Simca 1000.
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